Parcours de la collection

  Comme vous avez lu dans un des chapitres précédents, les éléments de dessin sont rangés dans une collection qui demande son parcours pour se dessiner au fûr et à mesure.

En actualisant l'export DXF j'ai imaginé comment le logiciel AutoCAD mémorise le contenu de son format de fichier ; il n'est certainement pas différent de celui lu par un éditeur ASCII. Comme Denis-Draw est écrit dans un langage orienté object, Turbo-Delphi, le parcours des éléments de dessin appelle des méthodes virtuelles pour que chaque dessin appelle ses propres fonctions de tracé mais comme celles-ci sont génériques, deux grandes méthodes sont principalement utilisées, celle des textes et celle des dessins. Cette collection d'éléments de dessin est aussi créée avec un prototypage orienté objet. Quand vous parcourez sa collection, une méthode spécifique est ajouté à chacun des types différenciés par leurs affichages, néanmoins ces méthodes sont masquées par le compilateur mais elles demandent à être appelées indépendamment, aussi et je me suis dit qu'Autocad devait lui aussi, quand il affiche son dessin, différencier chaque entities dans son vocabulaire avant de le dessiner. Ceci peut vous sembler abstrait ou au contraire très précis. Le rôle d'un informaticien consiste à décrire dans une «Formulation» comment faire ceci.

Ces fichiers sont lisibles par un éditeur Ascii. Il lit des caractères pour les afficher. Ce sont des formats lisibles sauf le TEO qui est un format binaire ; pour le lire, une transcription en Ascii utilisée par la prévisualisation se déterminant par l'extension ATO :  Pour Ascii-Teo-File : lire sa description. Chacun d'eux est associé au logiciel qui les créés. Remarquez que le logiciel Denis-Draw fait la conversion vers tous ces formats.

Une fois ceci déterminé

Une fois ceci déterminé : le parcours des collections : et que le dessin à la souris ne vous paraît pas évident.
Le principe décrit des collections permet d'entrevoir comment la programmation pourrait être envisagée pour afficher des éléments supplémentaires.

Tout, à la fois une collection et son contenu dit par exemple polymorphe aussi hétéroclite qu'il se doit d'être, serait à décrire même dans le cas d'une utilisation collective. Pour cela, on pourrait se dire que plusieurs programmeurs faisaient des modules différents, on pourrait joindre ces modules mais il faudrait les tester individuellement et pouvoir les insérer une fois le résultat vérifié. La roue chromatique par exemple, m'a permis de vérifier cette hypothèse, pour que son module 32 bits, et le même en 16 bits peuvent être incorporés dans le logiciel et fonctionner de la bonne façon.

Si vous avez un doute sur l'un des attributs:

Ce menu particulier permet d'affecter à la sélection des états particuliers comme l'affichage de la lumière. Et dans chaque entrée celui-ci agit de même, à une exception près celui des calques qui n'en est pas un : ce n'est pas comme si celui ci est affecté, c'est au contraire une collection qui est parcourue avec ses propres éléments de dessin.

La liste des éléments du calque actif:

La liste des éléments du calque actif n'est pas non plus un attribut spécifique mais s'affiche dans ce menu comme si cela était.

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Denis Bertin le 19-10-2009