Sur écran ou sur tableau ?

Il me semblait quand même plus facile de faire des démonstrations sur écran plutôt que sur des tableaux. En effet celui-ci peut être reproductrible en tout lieu avec les moyens de l'électronique, non seulement les images virtuelles peuvent aussi être répétées mais elles sont aussi instantanément visibles de partout.

Transmissibles à volonté à travers les océans avec les satellites ou bien à la vitesse de la lumière avec les fibres optiques. Il faudrait quand même expliquer ce phénomène, car si le pilotage des fibres est bien électronique (donc à cette vitesse) et que l'on peut alors penser de prime abord que ce faisant la transmission n'irait pas plus vite - en fait, c'est du point de départ à celui d'arrivée que cette vitesse est communiquée par les lasers qui gênèrent ce flux. Bien sûr ce microprocesseur à lumière existe bien pour la raison suivante le transistor à lumière transporte les électrons comme des photons.

Comment additionner deux flux lumineux : une perception possible serait de les recevoir dans un photo-transistor mais là encore celui-ci émet un courant électrique qui atténue ses fonctions de transmission. Pourquoi : la vitesse des électrons est bien moindre que celle des photons.

Pourquoi voulez-vous les additionner me demanderez-vous ?

Ce microprocesseur à quatre instructions sait lire un octet, ou une suite de deux-ci pour composer des mots. Ainsi je m'étais interrogé sur le sens de ces mots, qui sont bien connus des cruciverbistes mais que signifient t-ils pour des informaticiens ? Un ensemble d'octets constitue des mots et selon la classe de votre processeur, celui-ci est groupé (selon toujours des multiples de huit) par des groupes d'octet pour que ces mots forment des ensembles de huit, seize, trente-deux ou soixante-quatre bits - Qui sait où cela s'arrêtera t-il ? Alors quand on lit ces mots, ils se placent dans les registres qui ont pour nom A,B,C avec des extensions comme Bx,Cx... Le masque de bits transite sur le bus où il est placé selon l'instruction de lecture ou d'écriture, et qui lui même est indiqué par le drapeau (R/W) au rythme de l'horloge (selon sa fréquence). De plus, alors même que se fait cette lecture des indicateurs sont positionnés.

Un exemple consiste à lire une valeur de zéro (si cela en est une) - pour que le drapeau Z soit positionné. Il ne sert à rien de comparer ceci avec autre chose ou avec une instruction spécifique pour le savoir et de sauter (avec l'instruction spécial comme JNZ si non-zéro) vers une autre suite d'instructions. Il faut connaître tous ces microprocesseurs pour trouver des dénominateurs communs a ceux-ci et l'instruction des sauts se trouve toujours déclinée avec la lettre Jump. De même tous ces microprocesseurs ont des registres mais ils ont au moins tous un registre dénommé A qui pourrait être celui qui s'affiche dans une calculatrice. Comparer une chose avec une autre ou plutôt deux valeurs consiste à les soustraire. Et le flag Zéro s'active alors immédiatement. Comment : si a+b plus c plus tous les bits de ce registre sont nuls alors le drapeau zéro est vrai.

Intel définit qu'une autre fonction de saut en l'occurence CALL (ou JSR pour Jump to Subroutine selon Rockwell) enregistre l'état du programme counter dans la pile (dont je n'ai pas parlé mais c'est ce registre qui mémorise la position des instructions interprétées). Ceci permet de connaître deux autres fonctions : des registres parcourent la mémoire de votre ordinateur en permanence, elles s'incrément au fur et à mesure de la lecture des instructions qui sont décodées. Quand vous appelez une fonction de calcul, une procédure en Pascal, la position du programme est enregistrée, ce qui fait appel à la décomposition suivante enregistrer sa position, incrémenter la pile et lire celle où il doit aller. Ce microprocesseur à quatre instructions ne devrait-il pas en comporter plus : comme les opérations sur les bits en effet, celle-ci sont très utile pour autant elles ne sont pas connues : elle porte ces nom OR pour OU, And pour ET, XOR pour le Ou exclusif et l'opération de complément NOT qui inverse l'état de ceux-ci. Quand ils sont vrais ils deviennent faux et inversement quand ils sont faux ils deviennent vrais. En fait si deux fibres optiques conduisent vers une seul, le signal devrait être amplifié mais ce n'est pas comme cela que l'on fait une addition en binaire : si deux état sont lumineux et alors la retenue passe au bits suivant. Si l'un des deux est lumineux mais pas les deux, le bits en cours est positif. Ceci pourrait-il quand même se concevoir ? Savons-nous maintenir un état lumineux particulier comme dans une mémoire informatique ?

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